CommunicationPsychologie

Décoder les croyances et les peurs qui parasitent les relations parents/ adolescents

Décoder les croyances et les peurs qui parasitent les relations parents/ adolescents

Dans cette vidéo (2min30), Thomas d’Ansembourg invite les parents d’adolescents à travailler sur leurs croyances et leurs peurs qui parasitent les relations familiales. La différence que les enfants affichent par rapport aux croyances et aux valeurs  de leurs parents n’est pas forcément menaçante.

Nous sommes souvent piégés dans une vision binaire : « Je ne peux pas laisser faire sans réagir, donc je dois l’interdire ».

C’est en constatant que des besoins apparemment contradictoires cohabitent en nous que nous nous libérerons de ce piège :

  • besoin de respecter nos enfants et celui de les protéger
  • besoin de laisser de la liberté et d’assurer la sécurité

Une fois que nous prenons conscience que ces besoins peuvent cohabiter sans s’opposer, nous pouvons nous situer avec clarté et avec responsabilité individuelle, sans pour autant fermer la relation ou étouffer les enfants.

La communication non violente pourra nous aider à accueillir la différence tout en exprimant nos inquiétudes :

Observation : Quand je te vois sortir habillée comme ça…,

Sentiments : … à la fois je suis heureuse que tu t’autorises à vivre ta liberté et à la fois je suis affolée par l’idée que tu suscites la convoitise de certains et que tu te retrouves dans des situations dangereuses que tu ne saurais pas gérer.

Besoins : J’ai besoin de savoir que tu es bien dans ton corps et dans ton cœur.

Demande : Je voudrais être rassurée sur le fait que tu te respectes toi-même.

4 étapes pour dépasser les peurs et les croyances parasites avec les adolescents

Thomas d’Ansembourg propose 4 étapes pour dépasser les peurs et les croyances parasites avec les adolescents :

1. Se parler et s’écouter souvent

2. Demander ce qu’on veut demander clairement et positivement

3. Transformer ce qu’il y a à transformer

4. Lâcher ce qu’il y a à lâcher

 

 

 

être heureux ce n'est pas nécessairement être confortableOn retrouve cette anecdote dans le livre de Thomas d’Ansembourg : Être heureux ce n’est pas nécessairement confortable – Trouver le bonheur et non ce que l’on croit être le bonheur.

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